C’est l’histoire d’un petit bonhomme au comme trois pommes ( ça n’a pas beaucoup changé ), qui dans les années 80 sur un parking de super marché a fait une rencontre.

Un blouson noir, un vrai avec des bottes, un casque et une grosse moto verte.

La les yeux de ce gamin se sont mis à étinceler, comme si il avait rencontré le père noël.

Devant l’intérêt du gamin, le motard s’arrêta et lui dit : « tu veux entendre le bruit de ma moto ? », et il la démarra avec cette phrase : « c’est du Kawa ça mon gars c’est pas bridé ».

Et voila une passion était née.

Puis les années passèrent, il y eu les années 103SP, les années VTT, les années étudiante, et une dictature parentale vis  à vis des 2 roues motorisés. En même temps ma mère avait une carte de fidélité aux Urgences de ma bourgade, donc soyons compréhensif.

Ensuite, le boulot, le mariage, les enfants et nous arrivons à l’année 2005.

Boulot inintéressant, enfant plus grands, le petit bonhomme devenu grand ( tout est relatif ), avait gardé cette petite flammèche tout au fond de son cœur. Alors pour ses 30 ans il s’offrit le permis A.

Inscription en septembre, code et permis en novembre, sous la neige, et le 24 décembre entra chez le concessionnaire Suz et acheta sa Bandit.

8 mois passèrent, démission du boulot préavis, et donc beaucoup de temps pour surfer.

La au détour du Repaire des Motards, il trouve un lien pour télécharger Potarement, après sa lecture qui se fit d’une traite et s’en perdre une miette, il envoya un mail de félicitations à son auteur un certain TAZ.

Cet ouvrage lui fit le même effet que le bruit de la Kawa.

Ensuite tout à été très vite, Taz répondit à l’email avec un pseudo et un code, Weldman naquit.

Après de franches rigolades, des débats hautement philosophiques sur le forum, Taz me fit par de son envie de passer par le Havre durant le rodage de sa nouvelle maîtresse.

Rendez vous était pris.

Le 02 décembre de l’an de grâce 2006, sur la place de Fontaine la Mallet, Taz accompagné de Mario et JPF rencontrèrent manu dit Weldman.

Un passage par la maison pour reposer les fessiers, boire un café, et rencontrer ma tribu puis direction le havre par la plage.

Un petit resto et c’est parti, visite des quais, des terminaux route des marais et séparation avant le pont de Tancarville.

L’avantage avec mes trois comparses est que nous nous sommes entendus et avons discutés comme si nous nous connaissions depuis toujours.

Pour conclure je suis sure que ces quelques tours de roue en amèneront beaucoup d’autre.

@ + Weldman