L’OPALESHORE RIDE
19 / 20 / 21 Septembre 2025

Notre article sera en plusieurs parties. En premier, on vous parlera des Opale Days. Ensuite, on vous parlera de notre voyage. Celui-ci sera suivi de la rencontre avec les potes, pour se finir par plusieurs clins d'œil.

L'OPALE DAYS

Il y a 15 ans, plus exactement le 25 septembre 2010, naissait la première édition de l’Opale Shore Ride. Ce rassemblement est monté de toute pièce par le nouvel "Opale Shore Chapter". Leur volonté était de réunir un rassemblement Harley d'exception et ils ont réussi à 100%.

L’Opale Harley Days est depuis 2016, en alternance avec les Morzine-Avoriaz Harley Days.

En 2023, sur place ont été fêtés les 120 ans d’Harley-Davidson et les 40 ans du HOG.

Aujourd'hui, lors du week-end du 19 au 21 septembre 2025, les gros V-Twins de Milwaukee ont débarqué à Hardelot-Plage pour trois jours de parades, baptêmes, essais, concerts, expositions, bonne ambiance. En gros, la culture US des bikers, sous l'égide du H.O.G.™ "Harley Owners Group™".

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Le HOG est un club créé en 1983 par la firme pour rassembler les propriétaires de motos de la marque Harley.

Chaque concessionnaire possède un chapter, subdivision du Harley Owners Group. À ce jour, il existe plus d'un million de membres dans le monde entier. Rappelons juste pour information que pour devenir membre d’un chapter, il est obligatoire d’être adhérent au Harley Owners Group, mais nous pouvons être HOG sans appartenir à un Chapter et rouler avec eux.

Je donne la parole à Caroline Sorel, responsable du HOG France, chez Harley Davidson :

 

Bonjour à Toutes et Tous et Bonjour Bruno "LeTaz",

Les Opale Harley Days à Hardelot sont pour nous un moment unique, une véritable célébration de la passion Harley-Davidson. C’est un événement qui rassemble des milliers de motards venus de toute la France et d’Europe, dans un esprit de convivialité et de partage.

En tant que responsable du H.O.G (Harley Owners Group) pour la France et des événements Harley-Davidson, j’accompagne cette communauté exceptionnelle qui fait battre le cœur de la marque tous les jours sur toutes les routes en parcourant des milliers de kilomètres au guidon de leur Harley-Davidson.

Si j’ai aujourd’hui cette responsabilité en France, c’est parce que j’ai grandi avec cette communauté et avec cette marque depuis 30 ans et que je connais sa force. Mon rôle, c’est de fédérer, de donner vie à des expériences authentiques et de faire en sorte que chaque membre retrouve dans Harley-Davidson non seulement une moto, mais aussi une famille et un véritable style de vie.

À Hardelot, nous avons offert une expérience immersive qui incarne nos valeurs : la liberté, l’authenticité et la fraternité. C’est cette alchimie qui fait la force de Harley-Davidson et qui continue d’écrire son histoire, génération après génération.

Un sincère merci à Caroline et à Bienthot sur la route.

Les 30 000 bikers qui sont venus cette année vous le confirmeront, que ce rendez-vous est exceptionnel. Dites-vous qu'il y avait 23 000 Harley !

Voir notre Vidéo sur ces OPALE DAYS.


Cliquez sur l'image pour voir notre vidéo

Un spectacle à vivre car il ne peut être retranscrit !
Alors RDV en 2027 !

Houlala, on attaque le gros du sujet du week-end

Les présents sont Anne "Nanou" et Thierry "Malko", Marie "Majo" et Maxime, Denis, Michel et ma pomme "Le Taz".

Les 5 Harley prennent la route.

Nous avions décidé de partir le jeudi 18 et faire le trajet par petites routes. Le départ se fait à 9 h 00 de Grand Champ (56) direction Dinan, Caen, Dieppe et Le Touquet, et tout par petites routes, plus de 10 heures de route.

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Le point sympa est le passage du pont de Normandie où nous faisons une pause photos.

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La route se passe, le dernier tronçon se fera par des secteurs avec pas mal de virages qui finiront de nous fatiguer. Arrivé à l'hôtel (ou je reviendrai plus bas) repos.

La matinée du vendredi est OPEN "Libre", Anne "Nanou" et Thierry "Malko" prennent la direction de la Belgique, Denis et Michel pour leur part visitent le secteur, et Marie "Majo" et Maxime et ma pomme "Le Taz" prennons la direction via la route la route touristique de la Côte d'Opale, pour nous rendre au restaurant Chez Mimi à 62164 Audresselles. Un superbe bon moment.

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Nous reprenons la route et direction Hardelot. Arrivés sur place, la moto de Maxime vidange son liquide de refroidissement. Maxime et Malko trouvent une solution qui permet que la moto puisse attendre le samedi matin pour se rendre au Harley de Boulogne.

L'après-midi se passe, je retrouve mes potes, Isabelle et Franck, Aline "Breizh" et Eric venus de Belgique et pas mal d'autres venus des quatre coins de France et d'Europe. Au coin d'une allée, je croise Brigitte et François venus d'Amiens, et la liste est longue.

Aline "Breizh" et Eric (Membres du Moto Club des Potes) Brigitteet François Les Potes

Le soir, je me pose dans un restaurant avec Aline "Breizh" et Eric, proche de notre hôtel, lorsque le reste du groupe, très fatigué, reste manger à l'hôtel.

Le samedi matin, la pluie s'invite. Maxime et Malko se rendent au HD de Boulogne pour faire réparer la moto de Maxine. Ils ont été superbement bien reçus et une solution a été trouvée, et sa moto a été remise sur la route de suite, bravo à eux.

Pour ma part, je prends la route en direction d'Hardelot, j’avais pas mal de rendez-vous. Je retrouve Ludovic et Poupi et d’autres potes au fil des allées.

Ludovic et Poupi

Le midi, le groupe se rejoint pour un repas entre potes. Je retrouve Virginie et Yanndes Ducs de Normandie, des amies de très longue date.

Virginie et Yann (Membres du Moto Club des Potes)

La journée se passe entre parade, potes. Ont fini celle-ci tranquillement.

Le dimanche, nous rentrons en Bretagne après un week-end de dingue bien fatigués avec plein de souvenirs.

Pour clôturer ce chapitre, je donne la parole à Denis :

 

Bonjour à Toutes et Tous et Salut "Le Taz",

Comment je suis arrivé dans le monde de la moto ?

Étant ado, j'avais un pote plus âgé qui venait de s'acheter une 400 KH (3 cylindres 2 temps), il m'emmenait en passager et là j'ai découvert un autre monde que celui de l'auto de mon père. Ça accélère fort, ça roule vite, ça fait un bruit de fou.

J’étais conquis.

C'est devenu un but de vie, il fallait que je travaille pour pouvoir passer mon permis et acheter une moto. A la fin de la troisième, quand la conseillère d'orientation m'a demandé si je voulais un cycle long ou court, je lui ai répondu : le plus court possible.

J'ai commencé à travailler, je gagnais à l'époque 4023 francs bruts. IL m'a fallu plusieurs mois pour pouvoir passer le permis, acheter ma 400 four et payer l'assurance (le même prix que la moto).

Pendant l'armée, j'ai troqué ma 400 four contre une Yamaha 650 XJ. Ensuite, plusieurs motos ont suivi. Ce n'est qu'en 2003 que j'ai rejoint Harley.

Sarko a fait installer des radars automatiques partout et je me suis dit : si je continue, je vais perdre mon permis. Quitte à rouler à se traîner aux vitesses limitées, autant le faire avec une moto prévue pour.

Comment s’est passée la sortie Hardelot ?

Très bien.

J'ai fait un grand nombre de ces rassemblements, donc je n'ai plus l'effet de surprise.

Ce que j'apprécie le plus, c'est la découverte des personnes qui nous accompagnent.

C'est pour ça que je reste dans le monde Harley pour l'esprit club.

Je suis reconnaissant des organisateurs qui se décarcassent pour nous trouver le bon itinéraire "Merci Le Taz", le bon resto, le bon hôtel…

J'aime toujours la moto mais moins rouler toute la journée.

Ce que j'aime le plus, ce sont les pauses où l'on discute, les restos où l'on échange nos idées.

J'aime la moto, mais surtout les motards et les motardes !

Merci Denis.

RENCONTRE AVEC LES POTES

Revenons à notre monde motards. Nous sommes Grégaires "Groupe qui a tendance à vivre en groupe".

Nous nous rendons sur ce type de rassemblement aussi pour se retrouver, car nous vivons tous loin les uns des autres et sans ces rassemblements, il peut se passer plusieurs années avant que nous puissions nous croiser sur la route.

Je donne la parole à Virginie :

 

Salut "Le Taz" et Salut à Toutes et Tous,

Je me présente, je m’appelle Virginie, j’ai 53 ans, je suis passionnée de moto depuis l’adolescence (ça fait très réunion des motards anonymes ). Je suis passée par la mobylette (Ciao que j’ai pimpé parce que déjà à l’époque je n’aimais pas être à la traîne et le Ciao ça ne roulait pas assez vite...), puis par plein de modèles différents dès que j’ai pu passer le permis moto à 28 ans.

J’ai eu ma première Harley à la sortie du premier confinement, un petit Iron 1200. Chouette moto, mais pas assez confort pour mon arrière-train. J’ai ensuite essayé un Low Rider qui m’a tapé dans l'œil car il avait du répondant, un gabarit un peu plus dans mes attentes.

Et puis j’ai eu envie de faire un peu plus de route, d’avoir de grandes sacoches, j’ai donc troqué mon Low Rider contre un Road Glide. J’ai fait près de 5.000 km avec puis j’ai craqué sur un Road King. Cette super dernière grosse moto m’a rendue très heureuse, mais un projet immobilier avec mon époux m’a décidée à la revendre pour repasser à un Iron 1200.

Du coup, j’ai à nouveau mal aux fesses !

Cette année, c’était la 3ème fois que je me rendais à Hardelot avec mon Chapter. Hardelot, c’est l’occasion de vivre un rassemblement Harley à une distance raisonnable de chez moi (et oui, je te rappelle que je suis repassée sur un Iron...), de voir mes copains et mes copines du Chapter, mais aussi de retrouver les autres copains / copines des autres Chapters que j’ai rencontrés depuis que je roule en Harley.

J’adore croiser toutes ces personnes dans les rassemblements. On se voit, on se suit sur les réseaux et quand on se croise dans des manifestations plus ou moins importantes en termes de fréquentation, on se prend dans les bras, on s’embrasse comme du bon pain.

Ce qui est chouette à Hardelot, c’est que tout est installé en étoile, on peut naviguer dans les rues autour du la place principale, il y a plein de commerçants, les bars sont remplis, ça rigole, ça chante, il y a des motos partout, toutes plus belles les unes que les autres. Et puis c’est une dimension humaine, on est plus ou moins sûr de croiser quelqu’un que l’on connaît au minimum un fois dans le week-end.

J’ai pu retrouver aussi des copines, des Ladies d’autres Chapter avec qui je roule sur des événements qui ne sont que pour nous et entre nous. C’est l’occasion de rencontrer leur chéri / moitié / mari / amant… Rouler entre femmes, c’est encore autre chose, on se soutient beaucoup si parfois l’une d’entre nous n’est pas à l’aise et c’est l’occasion d’être entre fille, vous voyez, façon soirée pyjama pendant tout un week-end. Autant te dire que ça rigole dur, qu’on roule en harmonie et que le soir son s’amuse comme des gamines !

Voilà, pour moi, Harley, c’est une grande famille, c'est aussi des codes et une discipline sur la route qui me rassure et dont je suis fière de faire partie.

Merci Virginie, ton texte est vraiment superbe,

Que dire de plus ? Que si dressait la liste des potes retrouvés, il me faudrait plus d'une page.

Mon prochain Road-Tripe sera en 2026 ? Où ? On verra bien !

MES CLINS D'ŒIL

Alors, par quoi commencer ? Là est la question ?

Parlons de la rencontre avec cette Australienne venue de Melbourne, qui m'a offert ceci :

Voici une photo avec le drapeau du Chapter de Vannes, car je reste respectueux de mes engagements et que Nanou, Malko, Michel, Denis et moi, faisons partie de ce Chapter. Et quoi de plus beau que de prendre cette photo avec en toile de fond le pont de Normandie.

Pour information, je quitte le Chapter de Vannes tout en restant au HOG. Il est important pour moi de préserver ma liberté de pensée et mon autonomie de mouvement. Je maintiendrai mon respect envers tous les membres de ce Chapter et de tous les Chapters, où qu'ils se trouvent. Tout cela pour continuer ma route avec une grande tranquillité.

Maintenant pour information, j'ai déjà des contacts avec d'autres Chapters et un Free Chapter reconnu par la HOG.

Un bon rassemblement est aussi un endroit où l'on peut se poser le soir. Pour notre part, on est allé au B&B HÔTEL Le Touquet à Cucq où l'accueil, la sécurité de nos motos la nuit, la qualité des chambres méritent ces quelques lignes et nos remerciements à Isabelle et Jean-Marc, les Gérants.

Des clins d'œil, je pourrais en faire encore et encore, j'en oublie sûrement, mais ça sera pour les prochains reportages.

Pour ma part, je vois pour 2026 ce que je vais faire, mais ce qui est sûr, c'est que je vous donne rendez-vous aux Opale Days 2027.

Je donne la parole à Marie, dit Majo, qui nous raconte son week-end :

 

Bonjour à Toutes et Tous,

Balade dans le grand Nord.

Bonjour, je suis Majo, une grosse prise au vent passagère d'une Sportster 1250 !

Premier voyage avec ce modèle, premier long voyage, premier week-end entre motards !

Bref, une novice complète, mais dans le bain de la moto depuis déjà plus de 20 ans.

Commençons par le voyage : Locmaria Grand Champ - Cucq, 670 km de routes parallèles.

Il m'a fallu apprendre à ne me contenter en guise de valise que d'un sac à dos (pour les vêtements de pluie) et d'un sac de 5 L porté par notre road capitaine "Le TAZ", mon conducteur se refusant à ajouter des coffres à sa moto (adieu les 3 tenues, la grande trousse de toilette et les multiples paires de chaussures). Mais pour vivre cette aventure, je suis prête à tout !

Les bagages sanglés, nous voilà partis sur la route à 9 h. Nous retrouvons nos compagnons de route, 4 motards et une autre passagère (confortablement installée sur une Street Glide ultra, la chanceuse). Tout de suite, les choses sont simples : le tutoiement s'invite, le courant passe entre tous qui ne nous connaissons pas forcément mais ayant tous en lien notre gentil organisateur "Le TAZ". Les pauses se font dans une ambiance bon enfant, les vannes fusent, les rires s'installent, il faut du courage à notre road capitaine qui gère ces grands enfants !

Le passage du Pont de Normandie est un souvenir mémorable à moto, l’impression y est grandiose.

Après 10 h 30 de trajet, notre hôtel est enfin en vue, je ne sais plus si je sens encore mon séant* ou si des escarres se sont installées. La moto, c'est bien, mais avec une selle grand trajet ! La fois suivante, j'investis dans une bouée gonflable.

Notre hôtel, le B&B de Cucq, est très confortable, nos voisins de chambrée, tous gendarmes mobiles, sont adorables, l'ambiance est super et nous passons une agréable nuit.

Le lendemain, le temps est magnifique et nous roulons jusqu'à Audresselles par la côte, nous voyons même la côte anglaise, avant de rejoindre les Opale-Days Hardelot.

Comment résumer ces 2 jours...

Tout d'abord, encore cette simplicité de contact, où que nous soyons, que ce soit sur les stands ou avec les autres visiteurs, nous sommes tous présents pour partager une même passion, ce sentiment d'appartenir tous à une même famille, un week-end hors du temps, une pause bienvenue hors de notre routine quotidienne; un sentiment que je n'avais eu la chance de vivre que lors de l'Hellfest ou du Motocultor festival - une partie des visiteurs de l'Opale Days Hardelot ayant sur leurs Cut des écussons Hellfest ou Metallica, le lien Rock et Harley est bien présent comme l'évoque David Dumain dans son livre "les bikers battent le rythme".

Les motards, c'est également une communauté basée sur l'entraide, dont nous avons pu avoir un aperçu : un ventilateur bloqué et un radiateur se vidant sur le parking des Opale. Immédiatement, nos amis ainsi que de nombreux motards de chez nous se proposaient déjà de nous donner un coup de main pour nous redescendre en Bretagne ou nous trouver un plan B !

Mais les Opale Days, c’est aussi l’occasion de s’extasier devant les customs personnalisés, les nouveautés Harley, les légendes entièrement retapées ! Nous en prenons plein les yeux, les petits comme les grands.

C’est aussi l’occasion d’apprécier le doux bruit du V-Twin, jusqu’à 97 dB, qui ronronne, les bouchons d’oreille sont appréciables que nous soyons sur la moto ou à pied, l’occasion d’écouter des groupes sympa sur la scène principale ou de découvrir au détour d’une rue les cornemuses écossaises !

Nous flânons pendant 2 jours, le portefeuille s’allège considérablement également, un écusson par-ci, un ajout sur notre cuir par là, une bague pour certains, une casquette pour d’autres… Il y en a pour tous les goûts, mais attention, il faut que ça rentre dans les bagages au retour.

Déjà le retour, pour ce trajet moins de flânerie, autoroute et pluie, mais toujours cette camaraderie aux pauses. Une chose est sûre, nous allons nous revoir à Hardelot ? Peut-être pas tout de suite. Sur d'autres rassemblements ? Certainement !

Si je devais résumer le week-end : laisser le superflu, revenir à l'essentiel !

Mais ne serait-ce pas là une leçon de vie : vivre le présent, se concentrer sur l’essentiel et lâcher prise sur le superflu ?

* Séant "Définition Larousse : Partie du corps sur laquelle on s'assoit"

Merci Majo, beau texte.

Pour conclure ce reportage, depuis 2014, je n'avais pas un si long trip. Je reviens sur l'organisation de celle-ci, pour remercier pour son aide Malko. Pas évident de tracer une route, penser au groupe sur celle-ci sans mécontenter personne.

Rouler seul est une chose, rouler en groupe en est une autre… Toujours anticiper tel ou telle situation, toujours avoir un œil sur ses rétros, toujours penser aux groupes avant soi, lors d'un retour d'un week-end fatiguant rouler moins vite même si ceci n'est pas compris dans un cadre sécuritaire pour le groupe, un travail que je fais depuis trop longtemps avec un seul accident* durant toutes ces années.

Alors, avec plus d'un million de km parcourus depuis 1982 où j'ai mené des groupes en France et ailleurs, "lire ici", j'ai pris la décision qu'à partir d'aujourd'hui, à mon âge, 61 ans passés, je pose ma casquette d'organisateur sur de si longs RUN.

Maintenant parlons de faire de longs trajets en Harley, ceci est totalement différent. Rouler Harley pour moi, c'est prendre son temps, prendre l'autoroute uniquement par obligation mais zen, même si on se fait doubler, on ménage sa monture avant tout, toujours dans un cadre sécuritaire pour le groupe.

* Parlons de cet accident qui arrêta le "Taz Tour", il a été dû à une défaillance mécanique grave qui a fait que j'ai arrêté quelques mois la moto car pas mal touché à l'épaule gauche et ailleurs...

Crédit Photos : Malko, Marie, Michel, Denis & Bruno Pasqualaggi (Retouches photos et mise en page Bruno Pasqualaggi)


@ + Bruno Pasqualaggi "Le Taz" pour le Moto Club des Potes.


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